Nine : The last resort vous emporte dans un hotel disons.... très très bizarre, dans une ambiance comique presque burlesque mais malsaine. Les graphismes non pas vieillis, sont de bonne qualité et soignés au détail près, Les énigmes sont à s'arracher les cheveux et les personnages sont attachants (Salty, Isadora, le joueur de tambour, la pieuvre, la guitare, l'ours en peluche, le squelette...). Un magnifique jeu qui nous ennuie pas du débuts à la fin.

Lorsqu'un jeu vidéo d'aventure au scénario étonnant est illustré par des artistes qui y mettent tout leur coeur et leur savoir faire, il est possible d'espérer atteindre la cheville de Nine : The Last Resort. Il faut bien le dire, ce jeu a mis la barre tellement haut que malgré les années, il reste l'une des plus grande références dans la finesse graphique.

Et les énigmes ne sont pas en reste : complexes, hautement originales, elles agrémentent l'aventure par des challenges où les neurones sont mises à très rude épreuve. Un jeu superbe, proche de la perfection, qui n'a pas pris une ride. Supervisé par Robert De Niro himself, et truffé de références culturelles, Nine est sans conteste l'un des fleurons des jeux d'aventure sortis en l'année d'Or 1996.

Actuellement en abandonware spécialement rendu compatible avec les récentes versions de Windows, Nine a tout pour conquérir un nouveau public d'amateurs de très beaux jeux d'aventure.

Ah… Nine, c’est un univers unique envoûtant , des personnages (même le petit squelette dans l’aquarium qui est un personnage très minimum) très attachants, une durée de jeu digne d’un Myst, Riven, et autre jeux ultra complexe,… avec ce jeu on se retrouve propulser dans un monde absolument fantastique et magique, parfaitement indescriptible. C’est sincèrement un jeu à faire. N’aillez pas peur de la difficulté des énigmes, si vous écrivez chaque indice que vous trouvez, la solution sera des plus facile!

Un des jeux que je garde précieusement.

Rien que le lieu de l'aventure vaut le détour, une sorte de manoir drôle sombre et intrigant.
Les couloirs sont couverts de symboles, de vrais oeuvres d'art barré (ex : de Mark Ryden), à mi chemin entre un musée victorien d'histoire naturelle, un musée tribal, un coffre à jouet, gothique, punk.
Le tout sans dissension, et le ''last resort'' représente bien ce lieu où l'inspiration du monde prend source.

Les personnages et la progression finissent de vous accrocher à cet univers.
Les énigmes et le sens du jeu sont assez hermétiques.
Le jeux est durs, mais avec une bonne soluce à portée de main, ce n'est plus un problème. On en regrette presque qu'il y ait une fin.

Le jeu a assez bien vieilli, la résolution des images est faible, mais il n'y a pas de pixels.
Si vous le croisez, prenez un petit moment, il vaut le coup d'oeil !

J'ai été conquise dès le début. C'est un excellent jeu disponible en abandonware et qui vaut le coup. Quelques enigmes assez difficiles
mais avec un peu d'aide et de la logique rien d'insoluble. A essayer absolument.