Elle a de ces longues mains de dentellière
A damner l'âme d'un Werner
Cette silhouette vénitienne
Quand elle se penche à ses persiennes
Ce geste je le sais par cœur
Survolant le flot, épaulard nous emmène
Vers les îles blanches d'éternelle jeunesse
Par son corps naît l'aurore, la félicité
Cheval d'or, galop d'or vers l'éternité