
Cuisine...
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Un vraie fée des fourneaux Londeau Lune !
Hier soir, je me suis fait quelques mini-tartines façon LN. Voici la recette, très facile :
Il faut :
- de la baguette du jour ou de la veille, sans gros trous dans la mie,
- de la crème fraiche épaisse,
- de la ciboulette ciselée très menue
- du persil ciselé
- une tomate, pelée, sans pépins, hachée en petits morceaux, salée légèrement
- du gruyère
- sel et poivre
Couper des tranches de baguette dans le sens de la hauteur, de un centimetre d'épaisseur, surtout pas plus épais.
Mélanger la crème fraiche, la ciboulette, le persil, le sel et le poivre
Tartiner généreusement le mélange de crème fraîche aux fines herbes sur les tranches de pain
Ajouter les petits morceaux de tomate salée
Recouvrir le tout de lamelles de gruyère
Mettre au four, sur la grille et sur une feuille de papier sulfurisé, à 180° environ.
C'est cuit quand le gruyère est bien fondu. (surveiller car c'est assez rapide)
Ne pas cuire trop longtemps, sinon le pain va durcir, et le but est d'obtenir des tartines moelleuses.
C'est très vite fait.
Hier soir, je me suis fait quelques mini-tartines façon LN. Voici la recette, très facile :
Il faut :
- de la baguette du jour ou de la veille, sans gros trous dans la mie,
- de la crème fraiche épaisse,
- de la ciboulette ciselée très menue
- du persil ciselé
- une tomate, pelée, sans pépins, hachée en petits morceaux, salée légèrement
- du gruyère
- sel et poivre
Couper des tranches de baguette dans le sens de la hauteur, de un centimetre d'épaisseur, surtout pas plus épais.
Mélanger la crème fraiche, la ciboulette, le persil, le sel et le poivre
Tartiner généreusement le mélange de crème fraîche aux fines herbes sur les tranches de pain
Ajouter les petits morceaux de tomate salée
Recouvrir le tout de lamelles de gruyère
Mettre au four, sur la grille et sur une feuille de papier sulfurisé, à 180° environ.
C'est cuit quand le gruyère est bien fondu. (surveiller car c'est assez rapide)
Ne pas cuire trop longtemps, sinon le pain va durcir, et le but est d'obtenir des tartines moelleuses.
C'est très vite fait.
- YAZ
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Ce midi, une petite salade façon YAZ :
- de la salade
- des crevettes fraîches
- des moules et coques fraîches cuites au vin blanc à l'instant
- du fromage à salade
- des croûtons à l'ail et fines herbes
- du basilique frais du jardin
- de la ciboulette fraîche du jardin
- du persil frais du jardin
- des tomates cerises
- du surimi
- des oeufs durs encore tièdes
- un champignon de Paris frais
- du saumon fumé
Assemblée avec soin, cette petite salade sans prétentions est un vrai petit rayon de bonheur et de saveur, et le tout pour pas bien cher (plus riche et variée, pour moins de 3 euros) ^^

(miniature cliquable)
Miam ! Bon appétit ! ^_^
- de la salade
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Assemblée avec soin, cette petite salade sans prétentions est un vrai petit rayon de bonheur et de saveur, et le tout pour pas bien cher (plus riche et variée, pour moins de 3 euros) ^^

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Miam ! Bon appétit ! ^_^
Dernière modification par YAZ le 06 août 2007, 12:27, modifié 1 fois.
- LNP45
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Est-ce que vous avez été sage ? Oui ?
Dans ce cas Tata Mano va vous révéler ce qu'elle fait de trucs qu'elle retrouve dans son congélateur...
En ouvrant son frigo, Tata Mano a trouvé... Des lasagnes fraîches dont la date de péremption approchait à grand pas, mais pour lesquelles elle ne se sentait aucun courage de se lancer dans la fabrication d'une sauce tomate...
Desespérée, mais voulant quand même les faire, elle décide alors d'ouvrir la port de ses congélateurs, pour voir ce qu'elle pourrait faire et tombe nez-à-nez avec un parquet de noix de saint Jacques qu'elle oublie toujours de faire... Sa tête additionne deux plus deux et l'occurrence le paquet de lasagne fraîche avec le paquet de coquillaga et là... TILT ! Féréntiquement elle fouille se souvenant qu'il lui semblait bien que... Mais oui ! Elle a bien des crevettes rose décortiquée, là dedans ! Top... Mais il faudrait un légume, pour compléter tout ça... Des poireaux émincés de chez Picard ? Ah oui, tiens, ça se mariera bien avec les crustacés, ça... Vérification faite, elle a bien une échalotte, une lichette de vin blanc, de sel du poivre, et de la crème fraîche liquide... Trop contente, la fille : elle a un plat pour ce soir !
Elle met les noix de St Jacques à décongeler dans un bol plein de lait, laisse les crevettes dehors et s'en retourne travailler...
Et le soir venu, Tata mano se met aux fourneaux...
Elle fait d'abord revenir des champignons émincés surgélés avec une grosse échalotte epluchée et émincée, tandis qu'elle a mis les poireaux à fondre dans une sauteuse pleine d'eau. Les champignons aillant rendu leur eau, elle les réserve dans un bol et met les noix de st Jacque à dorer à la poelle, assaisonnant généreusement de persil, d'ail écrasé et de poivre. Lorsque c'est fait, elle additionne les crevettes, saisit le tout à feu vif, puis déglace au vin blanc... Une fois qu'elle a remis à feu doux en ajoutant les champignons et la crème fraîche, et qu'elle a vérifié que ses poireaux avaient toujours de l'eau, elle va se doucher, vite fait : c'est le moment ou jamais...
Lorsqu'elle revient, elle sort son arme fatal, le plat à gratin et alterne les couches : pâtes au fond, poireaux, pâtes, coquillages, pâtes, poireaux, pâtes coquillage... Et ainsi de suite jusqu'en eau du plat ; elle finit par une couche de poireaux, soupoudre généreusement de gruyère, ajoute un peu de crème fraîche pour éviter que le fromage ne sèche et enfourne le tout à 180° 40 mn...
Et qui a été le plus heureux des Hommes, ce soir là ? Tonton Titou ! ! !
Qui a déchanté quand il a fait la vaiselle, le lendemain
...
Dans ce cas Tata Mano va vous révéler ce qu'elle fait de trucs qu'elle retrouve dans son congélateur...
En ouvrant son frigo, Tata Mano a trouvé... Des lasagnes fraîches dont la date de péremption approchait à grand pas, mais pour lesquelles elle ne se sentait aucun courage de se lancer dans la fabrication d'une sauce tomate...
Desespérée, mais voulant quand même les faire, elle décide alors d'ouvrir la port de ses congélateurs, pour voir ce qu'elle pourrait faire et tombe nez-à-nez avec un parquet de noix de saint Jacques qu'elle oublie toujours de faire... Sa tête additionne deux plus deux et l'occurrence le paquet de lasagne fraîche avec le paquet de coquillaga et là... TILT ! Féréntiquement elle fouille se souvenant qu'il lui semblait bien que... Mais oui ! Elle a bien des crevettes rose décortiquée, là dedans ! Top... Mais il faudrait un légume, pour compléter tout ça... Des poireaux émincés de chez Picard ? Ah oui, tiens, ça se mariera bien avec les crustacés, ça... Vérification faite, elle a bien une échalotte, une lichette de vin blanc, de sel du poivre, et de la crème fraîche liquide... Trop contente, la fille : elle a un plat pour ce soir !
Elle met les noix de St Jacques à décongeler dans un bol plein de lait, laisse les crevettes dehors et s'en retourne travailler...
Et le soir venu, Tata mano se met aux fourneaux...
Elle fait d'abord revenir des champignons émincés surgélés avec une grosse échalotte epluchée et émincée, tandis qu'elle a mis les poireaux à fondre dans une sauteuse pleine d'eau. Les champignons aillant rendu leur eau, elle les réserve dans un bol et met les noix de st Jacque à dorer à la poelle, assaisonnant généreusement de persil, d'ail écrasé et de poivre. Lorsque c'est fait, elle additionne les crevettes, saisit le tout à feu vif, puis déglace au vin blanc... Une fois qu'elle a remis à feu doux en ajoutant les champignons et la crème fraîche, et qu'elle a vérifié que ses poireaux avaient toujours de l'eau, elle va se doucher, vite fait : c'est le moment ou jamais...
Lorsqu'elle revient, elle sort son arme fatal, le plat à gratin et alterne les couches : pâtes au fond, poireaux, pâtes, coquillages, pâtes, poireaux, pâtes coquillage... Et ainsi de suite jusqu'en eau du plat ; elle finit par une couche de poireaux, soupoudre généreusement de gruyère, ajoute un peu de crème fraîche pour éviter que le fromage ne sèche et enfourne le tout à 180° 40 mn...
Et qui a été le plus heureux des Hommes, ce soir là ? Tonton Titou ! ! !

Qui a déchanté quand il a fait la vaiselle, le lendemain

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Pas de cuisine, ce soir : on va l'auberge des Glycines à St Etienne de Chomeil, un des meilleurs plans bouffe de tout le Cantal (son foie gras frais poelé est à mourir tellement il vous titille les papilles, la viande est fondante comme jamais vous n'en avez mangé, et en plus : excellent rapport qualité/prix, sans mentir)...
Je vous laisse à vos (tristes) conserves...
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EPOK CETTE RECETTE EST AVANT TOUT POUR TOI : t'as besoin d'un remontant, ce soir...
Recette un peu spéciale, cette semaine, mais c'est celle du bonheur selon Mano...
Pour réaliser cette recette ô combien délicate, il vous faudra :
- Un courant d'air chaud
- Un courant d'air froid
- Pas mal d'humidité
- du relief (ça y est, je vois une lueur d'intérêt dans les yeux d'Epok)
- Trois cierges d'église
- Beaucoup de coffre
- Un rien d'organe
- Un peu d'eau bénite
- Une chapelle isolée dans la montagne
- Un poulet à sacrifier
Commencez par attirer, une semaine auparavant un courant d'air chaud avec une petite incantation bien sentie, et laissez l'humidité monter tout doucement, formant des nuages en se heurtant contre le relief. C'est alors le moment d'appâter un bon courant d'air froid dans les hauteur pour faire virer le temps à l'orage. Il s'agit alors d'épaissir la couche nuageuse en l'assaisonnant d'un soupçon de chanson paillardes, à bramer sans retenue tous les soirs pour s'attirer les foudres du ciel à qui vous cassez les oreilles... Attendez que des festivaliers patibulaires débarquent en ville et allez alors vous isoler dans la chapelle, où vous ferez une petite prière à Sainte Rita, patronne des causes perdues, et St Elme, patron des coups de foudre et autre joyeusetés météorlogiques (si vous ajoutez alors une prière à St Antoine de Padoue, vous retrouverez peut-être enfin ce que vous cherchiez dans la foulée, qui sait...). Prenez alors le poulet à égorger et relâchez-le dans la nature : je n'ai jamais dit qu'on allait l'égorger, non mais ! Ne vous reste qu'à vous mettre torse nu pour danser en rond en psalmodiant : houba houba... Ah merde, non c'est pas ça... Ah, ca y'est ou-ka-tcha-ka ou-ka-tcha-ka ou-ka-tcha-ka... en brandissant le poignard destiné originellement à égorger le poulet (trop tard, vous l'avez déjà relâché) vers le ciel, en le menaçant fermement...
Ca y est, la pluie est là... Et le festival de rues d'Aurillac est irrémédiablement gâché, pour le plus grand bénéfice de vos petits oreilles et de votre sommeil...
Marche également pour les carnavals à deux balles de février (à condition de ne pas danser torse nu ; il fait frisquet, en février, quand même), la mariages pourris toute l'année (mais quel plaisir peuvent bien avoir tous ces troufignons à klaxonner comme des tarés tous les samedi !), mais aussi : la fête de la musique, la kermesse de votre village... Bref. Tout ce qui empêche de dormir...
Quoi, l'eau bénite et les cierges d'église ? Ah oui... C'est pour empêcher vos voisins de venir vous crucifier quand vous aurez ruiné toutes les fêtes de quartier, mais ça fera l'objet d'une prochaine recette...
Recette un peu spéciale, cette semaine, mais c'est celle du bonheur selon Mano...
Pour réaliser cette recette ô combien délicate, il vous faudra :
- Un courant d'air chaud
- Un courant d'air froid
- Pas mal d'humidité
- du relief (ça y est, je vois une lueur d'intérêt dans les yeux d'Epok)
- Trois cierges d'église
- Beaucoup de coffre
- Un rien d'organe
- Un peu d'eau bénite
- Une chapelle isolée dans la montagne
- Un poulet à sacrifier
Commencez par attirer, une semaine auparavant un courant d'air chaud avec une petite incantation bien sentie, et laissez l'humidité monter tout doucement, formant des nuages en se heurtant contre le relief. C'est alors le moment d'appâter un bon courant d'air froid dans les hauteur pour faire virer le temps à l'orage. Il s'agit alors d'épaissir la couche nuageuse en l'assaisonnant d'un soupçon de chanson paillardes, à bramer sans retenue tous les soirs pour s'attirer les foudres du ciel à qui vous cassez les oreilles... Attendez que des festivaliers patibulaires débarquent en ville et allez alors vous isoler dans la chapelle, où vous ferez une petite prière à Sainte Rita, patronne des causes perdues, et St Elme, patron des coups de foudre et autre joyeusetés météorlogiques (si vous ajoutez alors une prière à St Antoine de Padoue, vous retrouverez peut-être enfin ce que vous cherchiez dans la foulée, qui sait...). Prenez alors le poulet à égorger et relâchez-le dans la nature : je n'ai jamais dit qu'on allait l'égorger, non mais ! Ne vous reste qu'à vous mettre torse nu pour danser en rond en psalmodiant : houba houba... Ah merde, non c'est pas ça... Ah, ca y'est ou-ka-tcha-ka ou-ka-tcha-ka ou-ka-tcha-ka... en brandissant le poignard destiné originellement à égorger le poulet (trop tard, vous l'avez déjà relâché) vers le ciel, en le menaçant fermement...
Ca y est, la pluie est là... Et le festival de rues d'Aurillac est irrémédiablement gâché, pour le plus grand bénéfice de vos petits oreilles et de votre sommeil...
Marche également pour les carnavals à deux balles de février (à condition de ne pas danser torse nu ; il fait frisquet, en février, quand même), la mariages pourris toute l'année (mais quel plaisir peuvent bien avoir tous ces troufignons à klaxonner comme des tarés tous les samedi !), mais aussi : la fête de la musique, la kermesse de votre village... Bref. Tout ce qui empêche de dormir...
Quoi, l'eau bénite et les cierges d'église ? Ah oui... C'est pour empêcher vos voisins de venir vous crucifier quand vous aurez ruiné toutes les fêtes de quartier, mais ça fera l'objet d'une prochaine recette...
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