Petites blagues ...
- titi
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Ca se passe au temps des pirates et des corsaires. Le capitaine Courage est un pirate célèbre, respecté par son équipage, car il combat toujours en première ligne lors des abordages.
Plus que le capitaine Courage, c'est sa chemise rouge qui est respectée.
Car, à chaque combat, le capitaine la porte, et ce symbole donne courage et force à tout son équipage.
Par exemple, la mer est calme quand la vigie hurle "pavillon anglais à 9 heures !"
"Décris-moi ce que tu vois, vigie !" demande le capitaine
"Environ cinquante marins, une vingtaine de canons, cap'tain"
Pour le petit bateau du capitaine Courage, qui ne compte que 40 pirates et dix canons, cela fait déjà beaucoup.
"Qu'on m'apporte ma chemise rouge !"
Il enfile sa chemise, et aborde le navire ennemi... Tous les pirates se déchainent, et finalement ils remportent le combat.
Quelques jours après, un nouveau navire est en vue.
"Navire en vue cap'tain ! 70 marins a vue d'nez, et pis dans les 30 canons on dirait b'en !"
Sans hésitations, "qu'on m'apporte ma chemise rouge !!"
Le capitaine met sa chemise, donne l'abordage, et l'équipe, voyant toujours son capitaine se battre parmi eux comme un diable, trouve le courage de vaincre une fois de plus.
Etonné, son second cherche le secret de cette chemise rouge. Si bien qu'il n'y tient plus et va poser la question à son capitaine, en apparté.
"Eh bien, c'est tout simple... Il faut stimuler l'équipe, alors je porte une chemise rouge, ce qui fait que si je suis blessé, ils ne verront pas le sang, je prendrai sur moi, et si je me montre toujours hardi, l'équipage en fera de même jusqu'à la mort s'il le faut."
Le second se dit que l'idée n'est pas bête du tout... Et attend avec impatience le prochain combat pour observer, maintenant qu'il connaît le fin mot de l'histoire.
Quelques jours plus tard, un galion apparaît au loin.
"Captain ! Un galion plein à ras bord ! Une centain'd'marins ! Et pis trop d'canons pour qu'j'puisse les compter !"
Le second se dit que ca sent le roussi quand même... mais le galion est trop proche et ils n'ont pas de choix, alors que le pavillon noir flotte, que d'engager le combat. Il se tourne vers son capitaine, qui a marqué une légère hésitation... et le capitaine crie alors :
"qu'on m'apporte ma chemise rouge ! ..... et mon pantalon marron !
Plus que le capitaine Courage, c'est sa chemise rouge qui est respectée.
Car, à chaque combat, le capitaine la porte, et ce symbole donne courage et force à tout son équipage.
Par exemple, la mer est calme quand la vigie hurle "pavillon anglais à 9 heures !"
"Décris-moi ce que tu vois, vigie !" demande le capitaine
"Environ cinquante marins, une vingtaine de canons, cap'tain"
Pour le petit bateau du capitaine Courage, qui ne compte que 40 pirates et dix canons, cela fait déjà beaucoup.
"Qu'on m'apporte ma chemise rouge !"
Il enfile sa chemise, et aborde le navire ennemi... Tous les pirates se déchainent, et finalement ils remportent le combat.
Quelques jours après, un nouveau navire est en vue.
"Navire en vue cap'tain ! 70 marins a vue d'nez, et pis dans les 30 canons on dirait b'en !"
Sans hésitations, "qu'on m'apporte ma chemise rouge !!"
Le capitaine met sa chemise, donne l'abordage, et l'équipe, voyant toujours son capitaine se battre parmi eux comme un diable, trouve le courage de vaincre une fois de plus.
Etonné, son second cherche le secret de cette chemise rouge. Si bien qu'il n'y tient plus et va poser la question à son capitaine, en apparté.
"Eh bien, c'est tout simple... Il faut stimuler l'équipe, alors je porte une chemise rouge, ce qui fait que si je suis blessé, ils ne verront pas le sang, je prendrai sur moi, et si je me montre toujours hardi, l'équipage en fera de même jusqu'à la mort s'il le faut."
Le second se dit que l'idée n'est pas bête du tout... Et attend avec impatience le prochain combat pour observer, maintenant qu'il connaît le fin mot de l'histoire.
Quelques jours plus tard, un galion apparaît au loin.
"Captain ! Un galion plein à ras bord ! Une centain'd'marins ! Et pis trop d'canons pour qu'j'puisse les compter !"
Le second se dit que ca sent le roussi quand même... mais le galion est trop proche et ils n'ont pas de choix, alors que le pavillon noir flotte, que d'engager le combat. Il se tourne vers son capitaine, qui a marqué une légère hésitation... et le capitaine crie alors :
"qu'on m'apporte ma chemise rouge ! ..... et mon pantalon marron !
- Londeau-Lune
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TROIS NOUVEAUX MORTS...
Aux portes du paradis, un homme se présente a St-pierre pour le jugement dernier.
Celui-ci demande au disparu de raconter les circonstances exactes de sa mort pour décider s'il mérite le Paradis ou bien l'Enfer.
L'homme n'a pas le choix et commence son récit:
- "Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d'avoir une relation extra-conjugale. Je suis donc rentré chez moi a l'improviste et évidemment, je l'ai retrouvé complètement nue sur le lit. J'ai donc fouille l'appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis je me suis souvenu... Habitant au 15e étage d'une tour, nous disposions d'un petit balcon. Et c'est la que j'ai vu cet homme, suspendu dans le vide et s'agrippant a la rambarde du balcon. J'ai tente de lui piétiner les mains mais il tenait bon... Je suis alors parti chercher un marteau pour taper dessus. Il a fini par lâcher mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu'il bougeait encore, je suis allé chercher le réfrigérateur dans la cuisine et je l'ai fait basculer sur cet individu. L'effort a été si violent que j'ai succombe a une crise cardiaque."
- "Ah bon ?", répond St-Pierre passionné, "C'est bon, vous êtes admis au Paradis."
Un second homme se présente peu après et commence a raconter l'histoire de sa mort a St-Pierre.
- "Voyez-vous", débute t-il, "j'étais en train de repeindre mon balcon au 17e étage d'une tour. Mon tabouret a vacille et j'ai bascule dans le vide. Mais j'ai eu la possibilité de me rattraper a un balcon deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon-la a commencé a me piétiner les mains, puis a me casser les doigts a coup de marteau. Il était fou furieux que je m'accroche a son balcon. Et pire lorsque j'ai lâché prise, comme je ne suis pas mort tout de suite, il m'a balance son frigo sur la tête pour m'achever..."
St-Pierre répond:
- "Oui j'ai entendu parler de cette histoire, vous pouvez entrer au paradis..."
Un troisième homme arrive et entame lui aussi son récit a St-Pierre:
- "Franchement, je ne sais pas comment c'est arrive. J'étais caché tout nu dans un frigo..."
Aux portes du paradis, un homme se présente a St-pierre pour le jugement dernier.
Celui-ci demande au disparu de raconter les circonstances exactes de sa mort pour décider s'il mérite le Paradis ou bien l'Enfer.
L'homme n'a pas le choix et commence son récit:
- "Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d'avoir une relation extra-conjugale. Je suis donc rentré chez moi a l'improviste et évidemment, je l'ai retrouvé complètement nue sur le lit. J'ai donc fouille l'appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis je me suis souvenu... Habitant au 15e étage d'une tour, nous disposions d'un petit balcon. Et c'est la que j'ai vu cet homme, suspendu dans le vide et s'agrippant a la rambarde du balcon. J'ai tente de lui piétiner les mains mais il tenait bon... Je suis alors parti chercher un marteau pour taper dessus. Il a fini par lâcher mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu'il bougeait encore, je suis allé chercher le réfrigérateur dans la cuisine et je l'ai fait basculer sur cet individu. L'effort a été si violent que j'ai succombe a une crise cardiaque."
- "Ah bon ?", répond St-Pierre passionné, "C'est bon, vous êtes admis au Paradis."
Un second homme se présente peu après et commence a raconter l'histoire de sa mort a St-Pierre.
- "Voyez-vous", débute t-il, "j'étais en train de repeindre mon balcon au 17e étage d'une tour. Mon tabouret a vacille et j'ai bascule dans le vide. Mais j'ai eu la possibilité de me rattraper a un balcon deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon-la a commencé a me piétiner les mains, puis a me casser les doigts a coup de marteau. Il était fou furieux que je m'accroche a son balcon. Et pire lorsque j'ai lâché prise, comme je ne suis pas mort tout de suite, il m'a balance son frigo sur la tête pour m'achever..."
St-Pierre répond:
- "Oui j'ai entendu parler de cette histoire, vous pouvez entrer au paradis..."
Un troisième homme arrive et entame lui aussi son récit a St-Pierre:
- "Franchement, je ne sais pas comment c'est arrive. J'étais caché tout nu dans un frigo..."
- Londeau-Lune
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A côté d'une épicerie vient d'ouvrir un petit restaurant chinois. L'épicier, qui est un peu vieux jeu, se méfie un peu de ce nouveau voisin.
Mais, le jour même de l'ouverture, il voit débarquer dans son magasin le propriétaire du restaurant.
"Bonjour monsieur l'épicier, je voudrais deux boites de Canigou"
"Ahah, du Canigou, tu crois que j'te vois pas venir toi, tu vas t'en servir pour mettre dans tes plats et donner à tes clients, c'est un restaurant chinois, j'connais la réputation d'ce genre de trucs"
"Non non pas du tout, c'est parce que j'ai deux chiens"
"Ouais ouais... ben amène moi les chiens pour que je vérifie."
Le chinois ressort, et rentre cinq minutes plus tard avec deux chiens en laisse.
L'épicier est bien obligé de lui vendre les deux boites, en râlant.
Le lendemain, le chinois revient à l'épicerie, et demande deux boites de Ronron.
"Ahah, mais tu me prends pour un con, du Ronron, tu vas t'en servir dans tes plats j'en suis certain !"
"Mais non, j'ai deux chats également"
"Ben amène-moi les chats et je te donnerai le Ronron ensuite"
Le chinois revient cinq minutes plus tard avec deux chats, et obtient donc ses boites, ce qui met l'épicier de mauvaise humeur, comme la veille.
Le surlendemain, le chinois revient en portant quelque chose entouré de papier aluminium. Il le dépose sur le comptoir de l'épicier.
"Mais qu'est ce que c'est?"
"C'est pour vous ! C'est pour vous !"
L'épicier ouvre le papier alu et voit, dans un petit bol, une sorte de mixture un peu étrange, peu apétissante rien qu'à sa couleur.
"C'est quoi?"
"Goutez ! Goutez !"
L'épicier se dit qu'il veut lui faire découvrir la cuisine de son restaurant, y trempe le bout de l'index, et le porte à sa bouche, puis recrache immédiatement avec une grimace de dégout.
"Pouah ! Mais c'est d'la merde !"
"Oui, je voudrais six rouleaux de papier-toilette, s'il vous plait"
Mais, le jour même de l'ouverture, il voit débarquer dans son magasin le propriétaire du restaurant.
"Bonjour monsieur l'épicier, je voudrais deux boites de Canigou"
"Ahah, du Canigou, tu crois que j'te vois pas venir toi, tu vas t'en servir pour mettre dans tes plats et donner à tes clients, c'est un restaurant chinois, j'connais la réputation d'ce genre de trucs"
"Non non pas du tout, c'est parce que j'ai deux chiens"
"Ouais ouais... ben amène moi les chiens pour que je vérifie."
Le chinois ressort, et rentre cinq minutes plus tard avec deux chiens en laisse.
L'épicier est bien obligé de lui vendre les deux boites, en râlant.
Le lendemain, le chinois revient à l'épicerie, et demande deux boites de Ronron.
"Ahah, mais tu me prends pour un con, du Ronron, tu vas t'en servir dans tes plats j'en suis certain !"
"Mais non, j'ai deux chats également"
"Ben amène-moi les chats et je te donnerai le Ronron ensuite"
Le chinois revient cinq minutes plus tard avec deux chats, et obtient donc ses boites, ce qui met l'épicier de mauvaise humeur, comme la veille.
Le surlendemain, le chinois revient en portant quelque chose entouré de papier aluminium. Il le dépose sur le comptoir de l'épicier.
"Mais qu'est ce que c'est?"
"C'est pour vous ! C'est pour vous !"
L'épicier ouvre le papier alu et voit, dans un petit bol, une sorte de mixture un peu étrange, peu apétissante rien qu'à sa couleur.
"C'est quoi?"
"Goutez ! Goutez !"
L'épicier se dit qu'il veut lui faire découvrir la cuisine de son restaurant, y trempe le bout de l'index, et le porte à sa bouche, puis recrache immédiatement avec une grimace de dégout.
"Pouah ! Mais c'est d'la merde !"
"Oui, je voudrais six rouleaux de papier-toilette, s'il vous plait"
- Jujube
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