Fabrique d'histoires...

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LNP45
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par LNP45 »

Oui j'en veux bien d'autres parce que j'ai essayé avec ceux-là et je n'ai as trouvé l'insparation. Je suis restée devant la page blanche ;)
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YAZ
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par YAZ »

Si, c'est faisable, il suffit seulement d'avoir le temps ^^ Je vais essayer, pourquoi pas ^^
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YAZ
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par YAZ »

Bon, j'aurai écrit une pitite histoire. Pas grand chose d'incroyable, mais bon, vu l'heure, difficile de faire mieux ^^" Bonne lecture !

Raymond Noulézunlaisautre, grand photographe renommé et retraité devant l'Eternel, acquit en un jour de pluie diluvienne un petit appareil photo lors d'un vide-grenier organisé par le petit village voisin au sien. De toute sa vie, il n'avait eu de cesse de mettre son talent au service de l'imagerie commerciale, poussant ainsi le consommateur à désirer ardemment des produits divers et variés qui lui étaient totalement dispensables, voire finissant par être lamentablement encombrants. Mais le salaire paye la conscience les consommateurs aiment à s'envier, et la société tourne mieux si chacun achète même si ce "Grand Tout" ne rime strictement à rien; Et si cela convient finalement à tout le monde, pourquoi s'en plaindre ? ... Il avait donc, au cours de ces années révolues, peaufiné l'apprentissage de l'âme humaine et ses lois fondées sur l'intérêt de ce qu'elle n'a pas, ou le désintérêt de ce qu'elle peut avoir facilement. Mais ce jour-là, bien au chaud sous ruisselant long manteau qui trempait ses bordures dans le tapis aqueux de l'asphalte, il avait la sensation que la facilité d'acheter cet appareil n'avait d'égal que la grandeur de cette trouvaille. C'est les mains tremblantes d'émotion, et non de froid, que Raymond échangea, à un des villageois qui ne semblait pas apprécier la rareté de cet objet, quelques morceaux vulgaires de métal frappé et autres bouts de papier froissés et crasseux contre ce qui changea le reste de sa destinée et celle des deux villages ...

Raymond eût pu aisément cacher son âge à toute personne peu enclin à estimer les années selon les rides sillonnant le visage, tant son impatience conférait à "l'infantilisme pré-Nativité". Détenteur d'un objet qu'il pressentait mystérieux, Raymond protégeait l'appareil des cordes tombant en abondance en le maintenant près du coeur, sous son manteau. Le contact de cet appareil photo, loin d'être le contact froid métallique présumé, se faisait chaud, réconfortant, apaisant. Bien différent de tout ce qu'il avait connu au contact de tels appareils, et ce, malgré son étonnante collection personnelle. Une confirmation selon lui inéluctable comme quoi son achat était de loin une vraie merveille, un vrai miracle en soi. Et sitôt rentré dans son petit logis un peu trop poussiéreux, il ne put résister à la tentation d'ouvrir l'appareil pour découvrir avec stupeur que ce dernier refusait tout bonnement de lui céder ce plaisir ... Etonné, Raymond essaya de prendre une photo malgré tout. Et quelle ne fut pas sa surprise ! L'appareil prit la photo de l'entrée de son appartement sans poser de problème apparent hormis évidemment le fait qu'il soit impossible de récupérer la photo prise. Du moins ... Un étrange bruit se fit entendre, et un petit bout de papier semi-glacé sortit d'une fente discrète qui parcourait tout le long de l'arrière de l'appareil.

Mais le temps manqua à Raymond pour admirer la photo réalisée, car en une fraction de secondes à peine le papier se voila d'une épaisse couche noire recouvrant l'intégralité de la photo sans avoir permis d'en apercevoir ne serait-ce qu'une partie. Frustrante expérience. Décevante, aussi. La situation et le ressentiment restèrent inchangés après les maintes tentatives qui suivirent de reprendre une photographie de chaque coin et recoin de sa petite maison. Et le papier semblait pouvoir sortir voilé autant de fois qu'il pourrait prendre une nouvelle photo, comme si l'appareil pouvait accéder à une corne d'abondance de papier photographique. Le mystère fut à son comble lorsque par dépit, Raymond se prit lui-même en photo et put alors voir, durant près d'une seconde avant que le voile habituel ne tisse son encre, un visage faiblement illuminé par le flash, ... dans une pièce sombre qui n'avait rien à voir avec sa maison. La joie fit alors place à la réticence, puis rapidement à la crainte. Qui était cette personne ? Sans nul doute un homme d'une trentaine d'années, et qui fixait avec une attention profonde l'objectif de l'appareil. Que se passerait-il s'il prenait à nouveau une photo de lui-même, se demanda Raymond ? Pourrait-il reconnaître la personne avant que la photo ne soit détruite ?

Mais hélas, toutes les autres photographies ne donnèrent aucun résultat concluant, et après une dizaine de photos supplémentaires qui s'obscurcissaient sitôt sorties de l'appareil, Raymond décida de mettre ce dernier de côté, préférant contacter un de ses amis, le Professeur Théodore Deuboux, dès le soir-même. Il est toujours très pratique d'avoir dans ses amis proches des voisins toujours prêts à vous aider quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit. Il en va de même pour ces scientifiques tant passionnés par leur travail que ce dernier gangrène leur vie à ne la réduire qu'à lui. Théodore fut donc surpris, curieux mais surtout ravi d'entendre les péripéties de Raymond et de son appareil photo magique. Car "magie" il y avait selon Raymond, là où Théodore ne voyait que mystère scientifique à résoudre. Mais évidemment, ni l'un ni l'autre n'eut de réponse face au comportement troublant de l'appareil qui refusait toujours de délivrer des photographies stables, ou de s'ouvrir. Les mains agiles et expertes de l'un et de l'autre ne purent rien, et c'est par dépit que chacun d'eux convint de reporter les tests complémentaires au lendemain.

Le chant du coq retentit des heures après que Théodore soit retourné à sa tâche : le sommeil l'avait fuit sitôt que sa tête tourmentée par l'énigme de cet appareil photo avait touché la surface duveteuse de l'oreiller. Comment un simple objet inanimé pouvait résister à la puissance de la logique cérébrale ? Mais sans Raymond, l'appareil refusait tout bonnement de montrer, même subrepticement, l'image du visage qui les avait tant nargués la veille. Ce fut donc avec un grand soulagement que sa sonnette retentit en cette matinée, annonçant l'arrivée de son voisin et ami. Tous deux se remirent donc à analyser les possibilités étonnamment incompréhensibles et inutiles de cet appareil photo. L'un pensant que la personne entrevue était défunte et qu'il leur était offert la possibilité de l'apercevoir malgré tout, l'autre pensant que le visage présent n'était qu'un résidus photosensible d'anciennes photos prises. Mais rien n'expliquait la quantité phénoménale de papier photographique que l'appareil avait sorti, très largement supérieur à ses capacités de contenant.

Pour Raymond, le monde semblait étrangement différent, en cette matinée. La lumière générale, les gens rencontrés, chaque chose vue ou touchée, chaque chose entendue ou dite, sans qu'il ne comprenne vraiment où était le problème. un sentiment viscéral comme quoi tout sonnait faux, comme quoi tout était artificiel, grossièrement réalisé. La nuit n'avait pas été de tout repos, suite à de nombreux rêves agités, mais rien n'aurait su expliquer cette sensation qui le rongeait peu à peu. Un sentiment féroce l'envahissait, comme s'il était insulté par tout ce qui l'entourait. Son agacement se répercutait sur ses analyses des photographies prises, même si ces dernières réussissaient maintenant à tenir plus de 3 secondes, le visage visible avec précision. Malheureusement, aucun des deux amis ne savait à qui pouvait bien être ce visage. Un visage qui changeait de position de temps à autre, mais restait fixé vers l'objectif, légèrement illuminé. C'est alors que Raymond pressentit une ombre passer sur le jardin visible depuis la fenêtre du bureau de Théodore. Une ombre qui amenait avec elle un flot de questions, une ombre qu'il n'avait jamais réalisée jusqu'alors, mais qui avait toujours été là, rôdant. Le plus étonnant était que Théodore n'avait rien remarqué, rien ressenti, rien compris. Il restait toujours penché devant l'appareil photo comme cherchant la réponse à une querelle amoureuse au fond d'un verre d'alcool.

Raymond savait que le monde cachait des secrets que chacun ressentait sans en imaginer les ficelles. Et peu à peu, le contact de l'appareil, ou le fait d'être en relation indirecte avec la personne photographiée, le rendait plus sensible aux détails. Mais ces impressions indéniables n'expliquaient toujours pas les évènements. Pris d'un élan comme l'ont les élèves à la sonnerie de sortie du dernier jour de l'année scolaire, Raymond fila droit vers le jardin pour en savoir plus sur cette ombre étrange, plantant Théodore qui ne broncha pas un sourcil, trop penché sur l'appareil photo pour réaliser l'existence même d'un monde autour de lui. Sitôt arrivé dans le jardin, Raymond put apercevoir un immense bloc blanc lévitant filant par-dessus le toit de la maison. Ayant déjà commencé sa trajectoire de départ, la forme générale du bloc était impossible à imaginer, mais il était évident que seul Raymond l'avait vu : bon nombre de passants, réjouis de voir le retour du soleil, déambulaient sans avoir jeté un seul coup d'oeil au ciel qui avait abrité quelques secondes auparavant la grande forme blanche qui maintenant avait complètement disparu.

Déconcerté par cette nouvelle expérience mystico-bizarroïde, Raymond regagna sa maison, retournant dans son esprit toutes les découvertes et questions auxquelles il a été confrontées depuis l'achat de l'appareil photo. Une nouvelle expérience devait être lancée : voir si d'autres appareils photos pouvaient faire de même. L'étrangeté des photos provient-elle de l'appareil acheté, ou de lui-même ? L'énergie gagnée par cette nouvelle perspective d'évolution de la compréhension de tous ces mystères lui donnait des ailes. Des ailes aussi rapides que fragiles, car dès lors qu'il eût essayé bon nombre d'appareils issus de sa collection, il devint évident que la magie des photos provenait de l'appareil, et non de lui. Brisé dans son égo, mais pas dans sa quête de comprendre, Raymond reprit, penaud, la route vers la maison de Théodore qui n'aurait probablement pas remarqué son absence. La soirée et la nuit promettaient de longues heures de réflexion, de tests, et Raymond finissait vite par se demander si tous ces tests servaient à quelque chose. L'ennui n'avait d'égal que le manque d'avancées depuis de très nombreuses heures. Seule l'association de cachets ultra-vitaminés et café permettaient encore de le faire tenir debout. Et le soleil du lendemain brillait déjà dans le ciel lorsque Raymond aperçut à nouveau l'ombre mystérieuse céleste ...

... Malgré le manque total de sommeil, Raymond ne cilla pas face aux rayons du soleil pourtant très présents. Il percevait d'ailleurs de minuscules reflets dans le ciel, comme si une immense araignée avait tissé sa toile parmi les nuages. De longs pans de nylon tombant droit vers le sol, des fils qui, finalement, lui semblaient habituels sauf qu'il n'avait jamais réalisé qu'ils ne l'étaient pas. Une sensation finalement très similaire à l'ombre. Ne jamais l'avoir remarquée avant ne l'empêchait pas d'avoir existé sous son nez. Combien d'autres mystères risquaient se révéler peu à peu ? Les photos noires, le visage, l'ombre, puis ces fils ... Fils qui bougeaient petit à petit, se tendant dans le ciel selon des lois qui échappent à l'entendement. Du moins, jusqu'à la rencontre directe avec des personnes du voisinage, car, à la grande surprise de Raymond, chacune de ces personnes rencontrées était attachée à un des fils du ciel. Désirant leur parler, il vit un panneau glisser du sol, avec des questions précises qui ne l'intéressaient pas ... Et l'ombre réapparut du néant ...

... Voilà que le ciel s'assombrit sous la masse blanche en lévitation, une masse enfin bien visible car sans obstacle pour l'oeil : une immense flèche blanche qui pointa immédiatement sur une des questions du panneau. Raymond se vit alors poser une des questions d'un profond inintérêt, pour recevoir une répondre tout aussi peu passionnante. Mais pourquoi avoir cédé ) l'obligation de poser une question ? C'est alors que Raymond leva les yeux au ciel et vit un lien de nylon l'attachant, tout comme les autres, aux nuages. Saisissant le fil à pleines mains, il retourna chez lui pour couper ce dernier avec la paire de ciseaux du bureau. La flèche céleste commença à s'agiter frénétiquement, et Raymond, libéré du fil qui le tenait en laisse depuis toujours, se précipita chez Théodore pour prendre une nouvelle photo : celle d'un homme furieux de voir son jeu échapper à son contrôle, celle d'un joueur qui perd son rôle divin dans une aventure qu'il pense fictive.

Que le jeu se bloquât, que le joueur arrêtât sa partie, ... quelle que soit la raison, tous les câbles tenant les voisins sous le joug de mains invisibles se relâchèrent et disparurent dans leur chute. La flèche s'éloigna à l'horizon pour se fondre dans l'immensité d'un monde dans lequel Raymond et tous ses habitants se sentirent libres pour le première fois. Libre de bouger, de penser, de parler, comme bon leur semble, sans aucune directive. Quant à l'appareil photo, il ne fit plus que prendre une dizaine de photos, normales, avant de rendre l'âme. Théodore voulut l'ouvrir, mais à sa grande découverte, cet appareil ne possédait ni papier ni aucun mécanisme interne. Le mystère s'était envolé avec leur prison, et jamais Raymond et Théodore ne furent autant ravis des conséquences d'une choses qu'ils ne pourraient jamais comprendre.


Nouveaux mots : camion - téléphone - consciencieux - étoile - ogive
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LNP45
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par LNP45 »

:shocked: Tu crois que si on coupait tous les fils quelque chose changerait ? :???:
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Awalie
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par Awalie »

La nuit était magnifique !
Il avait beau être en pleine forêt, il pouvait admirer les étoiles à travers son pare-brise. Elles scintillaient de tous leur feu !
Ca faisait déjà des heures qu'il roulait et une petite pause café bien méritée, sur le bord de la route était la bienvenue.
De toute façon, il n'y avait plus personne à cette heure tardive ! Il ne gênerait pas les autres sur cette route forestière, au milieu de nulle part...

Soudain, cette lumière aveuglante !! Il ne vit plus rien ! Le temps que ses yeux se remettent doucement, il se demanda d'où cela pouvait bien provenir.
Il n'avait pas vu de camion approcher et ne l'avait pas entendu passer non plus d'ailleurs...Pourtant, ça ne pouvait être qu'un camion pour émettre une telle lumière en pleine nuit !

Pris de doute, il pris son portable et descendit de son camion.
Etant quelqu'un de consciencieux, il alla vérifier son chargement. C'est pas possible !!! L'ogive a disparue !!


Voilou ! SF quand tu nous tiens ! :D

Les prochains mots : amouraché - pot d'échappement - volet - chien - sandales

A vous ;)
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par Awalie »

Mes mots sont trop difficiles ?? :???:

Ou ce jeu est simplement fini et n'intéresse personne ??
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YAZ
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par YAZ »

Awalie a écrit :Mes mots sont trop difficiles ?? :???:

Ou ce jeu est simplement fini et n'intéresse personne ??
Le problème de ce jeu est qu'il demande beaucoup de temps pour une réponse, même pour une réponse courte, à l'inverse des autres jeux de ce forum, plus spontannés. Du coup, lorsqu'on lit les nouveaux mots à utiliser, on n'a pas forcément le temps de s'y mettre ... et lorsqu'on a enfin le temps, on n'y pense plus ^^"

Tu as uppé ce post, il est revenu dans nos mémoires, et vu que c'est le vacances, peut-être qu'il pourra bénéficier d'un plus grand nombre de réponses ^_^
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par LNP45 »

Un chien hurle à la mort dans la nuit noire ….
Un volet claque sinistrement au vent glacé …..
Une pauvresse dort sur un trottoir, le nez au niveau des pots d’échappement,
C’est l’hiver, rude et hostile, où il vaut mieux chausser ses bottes que ses sandales.
Et moi, blottie au chaud dans ma maison, j’attends le retour du printemps pour m’occuper de mon jardin dont je me suis un peu amourachée. :)


Les mots suivants : cagnotte – chandelle – bouteille – sirop – carnaval


Je propose de faire des histoires courtes (10/12 lignes maxi) plus faciles à rédiger et à lire.
Ne pas mettre les mots en couleur pour que l’histoire soit lue par les petits camarades. J’encourage aussi les lecteurs à dénoncer sans pitié tout rédacteur qui aura oublié un mot dans son histoire.
Si vous êtes d'accord ;)
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par Awalie »

Ok... Je vais faire court ! Pigé ! :D

Le lendemain du carnaval, j'étais en train de manger une coupe de fruits au sirop quand mon chéri m'a annoncé qu'il avait gagné la cagnotte du loto !
Une soirée au chandelle et bouteille de champagne s'annonçait...


Voilou !!

Les prochains mots, à réunir dans une phrase ou un court paragraphe :
poil - tordu - filé - crayon - ciseaux

A vous ! ;)
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par LNP45 »

Tu rêves Awalie ? ou c'est une histoire vécue ? :D
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par Awalie »

LNP45 a écrit :Tu rêves Awalie ? ou c'est une histoire vécue ? :D
Ce serait trop beau si c'était vrai ! :D Mais pitèt un jour... si on joue ! :dielaughing:
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par Londeau-Lune »

A poil z'enfants de la Culture
Le jour des tordus est arrivé
Contre nous de la tyrannie
Le crayon d'l'Assemblée a filé
Le crayon d'l'Assemblée a filé

Entendez vous dans vos livebox
Mugir ces féroces ciseaux
Qui coupent à tour de bras
Et censurent nos voix sur le net...

A vos claviers, Citoyens !
Formez des tas d'hackers !
Cliquons
Cliquons
Qu'un flux RSS abreuve nos octets !

Prochains mots : Tikachichicaïeaïeaïe, belle, Cadix, velours, non
SATOR
AREPO
TENET
OPERA
ROTAS
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par Awalie »

La belle de Cadix a mis ses gants de velours...
Non, tu ne rêves pas : prépare tes fesses c'est ton tour !!!

Tikachichicaïeaïeaïe ! :D

:dielaughing: Faut vraiment que je prenne des vacances moi ! :dielaughing:


Les prochains mots : Alisée, feuille, bouteille, pierre, pieds.

A vos méninges ;)
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par LNP45 »

Alisée, ma vieille voisine obèse, prend de la bouteille ... ses gros seins, lourds comme des pierres, se dirigent lentement vers ses pieds :/ et ses oreilles en feuille de chou ne lui servent à rien : elle est sourde comme un pot. :yes: Pauvre Alisée !

prochains mots : glace - soleil - orage - chat - camion
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Re: Fabrique d'histoires...

Message par Awalie »

Vivement que l'hiver passe... et que l'été arrive ! Elle a hâte de pouvoir à nouveau lézarder sous le soleil, manger une bonne glace pour se rafraichir, ou encore contempler l'orage d'été juste après une grosse chaleur !
En attendant, il faut qu'elle reprenne la route, sous la pluie et le froid avec son camion... Mais elle n'est pas seule ; son chat Oscar lui tient compagnie. ;)


Prochains mots : Carotte - Semelle - Cigare - Parka - Vélo

A vos claviers ! :^^:
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