Un point'n click basé sur le mythe de Cthulhu de maître Lovecraft, en voilà une idée qu'elle est bonne.

Je n'avais pas joué à ''shadow of the comet'' (même si à l'époque, j'en avais bien envie) et j'ai rattrapé mon retard avec cette suite.

Plutôt bien fichue techniquement pour du 1995, mais on n'est quand même pas au niveau des Lucasarts de l'époque (the dig ou Full Throttle, par exemple).

L'histoire est sympa, le jeu permet de ''mourir'' mais crée gentiment une sauvegarde automatique avant les scènes risquées.

Par contre, il n'est pas très difficile, on en vient vite à bout. La seule ''difficulté'' est parfois de trouver le bon pixel pour activer un objet (ex : un livre caché dans une bibliothèque !), c'est assez ennuyeux de ce côté là.

Mais ça reste un bon titre !

Difficile de noter sereinement ce jeu.
D'une part, ce soft est l'un des tout premiers auquel j'ai joué, il y a une quinzaine d'années. Je ne l'avais pas terminé à cause des phases d'action en temps limité que j'avais trouvées frustrantes.
Je l'ai donc redécouvert ces derniers jours. Toujours ce sentiment frustré. L'histoire est un peu ''capillotractée'' et les énigmes sont plus intuitives que résultant d'une véritable recherche ponctuée d'indices.
Mais les graphismes n'ont pas si mal vieilli, et l'ambiance fantastique nuancent mes précédents reproches. Un jeu qui se boucle rapidement, mais qui vaut la peine d'être joué finalement.

ce jeu tourne parfaitement sous windows seven
le scénario est intéressant, les graphismes sont bons compte tenu de la date de sortie
deux reproches toutefois : certaines parties du jeu s'approchent de la chasse au pixel(l'aiguille au cabinet médical, le livre dans la bibliothèque....) et certaines énigmes manquent d'indication et se résolvent par ''essai/erreur'' (les masques par exemple à la fin), ce qui oblige à sauvegarder souvent car on peut mourir dans ce jeu.
en conclusion, c'est un jeu agréable à jouer que je ne note pas mieux en raison des 2 reproches cités au dessus

Pour un jeu de 1995, Prisoner of ice est techniquement magnifique. Les graphismes et les séquences vidéos sont sublimes. L'interface est simple et agréable. La difficulté est bien dosée.
Concernant le scénario, les auteurs ont été chercher leur inspiration du coté de l'occultisme nazi, à l'instar de jeux comme la série des Indiana Jones ou de Return to castle Wolfenstein. Le coté fantastique provient de l'univers de Lovecraft. Un Obersturmfurher SS fou(un lieutenant, quoi !) a décidé de réveiller les Grands Anciens. Votre mission est de sauver le monde libre !
J'ai trouvé l'histoire un peu compliqué par moment, c'est pourquoi je ne lui met pas la meilleur note. Mais cela reste un excellent jeu d'aventure.

Un jeu que je possédais étant plus jeune. J'ai vraiment adoré le retrouver. L'histoire est excellente, et j ai hâte de jouer avec parker dans SOC.
L'intérêt des énigmes réside dans le fait qu'elles sont logiques : gilet de sauvetage sous la couchette, aiguille sur le bureau du docteur ( vachement mesquine celle la ^^ ), La position de livre selon l'époque de leur auteurs, etc.
Un jeux a découvrir absolument, avec des graphiques magnifiques. L humour est aussi très présent, ce qui en fait un titre unique en son genre.
Au fait, dans les vidéo au formats MUX, il y quatre fichiers ''FINAL'', numéroté de un à quatre... pourquoi quatre si il n y a que deux fin ^^ ?

Comparable aux deux premiers épisodes de la série des Chevaliers de Baphomet par l'interface, une partie du scénario, les graphismes en 2d et les nombreuses vidéos, Prisoner of Ice reste toutefois un cran en deçà de ces très bon jeux. Handicapé par des énigmes et un enchainement des évènements artificiels et peu originaux, le finir vous prendra moins d'une journée. Heureusement, quelques points positifs en font un jeu digne d'intérêt : un mélange d'horreur lovecraftienne et d'humour, une aventure pleine de rebondissements, des graphismes splendides et une ambiance sonore réussie.

un super souvenir aussi. Les vidéos en peintures surtout. Le genre de jeux qu' on ressort 10 ans après avec des yeux brillants. Il manque peut-être 2 ou 3 explications, mais ça fait partie de l'ambiance.

Ce jeu ne m'a pas vraiment marqué, personellement, mais je me souvient tout de même très bien de sa très grande facilité et de sa durée de vie ridicule.
Ls graphismes étaient très bon, et l'ambience réussie, mais six heures, ce n'est pour moi pas assez pour m'immerger vraiment dans un jeu, à moins qu'il ne soit remarquable. Ce n'est ici à mon avis pas le cas.

Un de mes meilleurs souvenirs de joueurs, sinon LE meilleur. Je l'avais acheté en kiosque vendu avec une BD inspirée des récits lovecraftiens également.
L'ambiance est souvent glaciale et malsaine (le sous-marin, la base-militaire) mais le passage au Pérou permet de se détendre un peu. Ni trop dur, ni trop facile, avec cependant l'énigme qui tue, quasiment infaisable sauf si on a de la chance ou que l'on est très coriace : l'aiguille sur le bureau dans la prison. Totalement invisible, il faut passer le curseur 1 million de fois dans tout le décor pour avoir enfin le mot "aiguille" qui s'affiche à l'écran. Plutôt frustrant.
Prisoner of Ice m'a donné envie de jouer à sa préquelle : Shadow of the Comet, dont je ne connaissais pas du tout l'existence.