Ben moi ça m'émeut ce genre d'histoire ! Si c'est vrai ! mééééé ! C'est comme un rêve américain ! Des petits princes qui nous ont fait rêvé et..l'aventure continue..ra ! I love Runaway !
" Madrid, 1992 : 3 jeunes amis d'enfance, passionnés de jeu vidéo, décident de créer leur propre studio de développement, qu'ils baptisent Pendulo Studios. Le jeu d'aventure est alors à son apogée, Lucas Arts a révolutionné le genre quelques années plus tôt avec le système Point & click qui s'impose à travers de véritables chefs d'œuvres comme Indiana Jones, Monkey Island ou Maniac Mansion.
Les 3 amis de Pendulo Studios qui ont toujours voué une véritable passion pour les jeux d'aventure décident de se consacrer uniquement à leur genre de prédilection. En 1994, sort leur premier jeu, Igor : Objective Uikokahonia . Le jeu, même s'il ne sort qu'en Espagne, connaît un énorme succès en devenant le premier jeu d'aventure graphique à réellement exploser dans ce pays.
Désireux de toucher le public international, Pendulo Studios décide ensuite de mettre en chantier un projet beaucoup plus ambitieux avec des graphismes et un style proche des canons du genre établis par les américains de Lucas Arts. C'est en 1997 que sort Hollywood Monsters, édité et distribué en Espagne par la société Dinamic qui s'est associé à l'éditeur américain Acclaim pour une sortie mondiale. L'Espagne fait un triomphe à Hollywood Monsters, qui se vendra à plusieurs centaines de milliers d'exemplaires. Devenu un classique du jeu vidéo espagnol, le jeu est encore disponible en magasin près de 10 ans après sa sortie ! Malheureusement, l'avènement de la carte graphique 3D détourne les gros éditeurs des aventures graphiques et Hollywood Monsters restera finalement dans les cartons d'Acclaim. Il ne sera jamais publié ailleurs qu'en Espagne. Le master anglais disparaîtra avec l'éditeur américain victime de banqueroute en 2004
Les trois amis de Pendulo ne se découragèrent pas de voir un de leurs titres enfin reconnus ailleurs qu'en Espagne. Persuadés qu'un bon jeu d'aventure graphique trouvera toujours son public, mais échaudés par les réticences des éditeurs étrangers, ils mettent au point un astucieux procédé qui leur permet de combiner 2D et 3D.
C'est donc plein d'espoirs qu'ils se lancent dans le développement de Runaway, a road adventure leur plus gros projet pour lequel ils produiront de nombreuses séquences de dessin animé, une bande originale de 24 chansons et feront travailler une équipe importante de graphistes et programmeurs.
Soutenu financièrement par Dinamic qui ambitionne de devenir le premier éditeur espagnol à conquérir le marché international, l'équipe dispose de moyens conséquents. Malheureusement, Dinamic rencontrera de graves problèmes financiers, et les derniers mois de développement de Runaway seront chaotiques. Dinamic disparaît finalement en 2000, quelques semaines après la sortie espagnol de Runaway sans avoir pu assurer une distribution internationale au titre.
Après maintes démarches et une longue attente, Pendulo finit par récupérer les droits de son Runaway deux années plus tard. Cependant rares alors sont les éditeurs qui s'intéressent au jeu, il faut dire que les derniers jeux d'aventure en 3D n'ont guère convaincu et le genre est devenu moribond. Sans ressource pour poursuivre l'aventure, les trois amis de Pendulo envisagent de fermer leur studio 10 ans après l'avoir crée. Par chance les dernières pistes pour une distribution du titre, seront les bonnes. Ce ne sera pas un grand éditeur mais plusieurs petits distributeurs indépendants qui finiront pas sortir Runaway, qui devient l'une des meilleures ventes du jeu sur PC en 2003, partout en Europe. Une consécration in extremis qui en plus de relancer le studio, permettra au jeu d'aventure de revenir au premier plan.
En 2006, Runaway, The Dream of The Turtle sera donc le quatrième jeu de Pendulo et c'est sans aucun doute le jeu du trio espagnol le plus attendu… en Espagne comme partout dans le monde."
" 16/20, c’est l’excellente note que vient d’attribuer Console + à Runaway, The Dream of the Turtle sur Nintendo DS, qui obtient également la mention "Hit Console Plus". C’est le premier test du jeu et les impressions sont donc très bonnes puisque le magazine qualifie le jeu de « Très bon, réussite graphique, drôle et intelligent, bande son majestueuse, un vrai régal pour les yeux… »
Ecoute poussin ! Ce matin, j'ai lu, si je ne me trompe pas, c'était bonne heure , sur le site de micromania, la date du 23 novembre et j'ai pensé qu'ils n'étaient pas à jour. Oooooooh, je vais aller faire un petit tour demain.